Il y a eu tellement d’action au cours des derniers jours que je n’avais pas encore eu le temps de publier cet article paru la semaine dernière dans un quotidien de Warwick. Voilà donc une nouvelle étape de franchie dans la restauration de ce pont couvert qui devrait porter le nom de pont Joseph-Édouard-Perrault. Je joins à cet article quelques photos inédites du pont.

Photo : Gérald Arbour (1983)

Pont couvert : une firme de Cowansville retenue pour la restauration

Par Claude Thibodeau  

Une autre étape importante vient d’être franchie dans le dossier de la restauration et de la mise en valeur du pont Joseph-Édouard-Perrault. Le conseil municipal de Warwick a accordé le contrat au plus bas soumissionnaire, Construction Giron de Cowansville, au montant de quelque 340 000 $.

Photo : Gérald Arbour (1983)

Huit entreprises avaient manifesté de l’intérêt au projet, ces huit soumissions allant donc de quelque 339 500 $ jusqu’à près de 1 115 000 $. La Ville de Warwick, qui avait prévu un budget de 150 000 $, consentira 139 250 $ à ce projet financé à la hauteur de 175 000 $ par le ministère de la Culture et des Communications du Québec. Le montage financier prévoit notamment un montant de 20 000 $ puisé dans le Pacte rural et des contributions de 5 000 $ de la SADC et de 35 000 $ de l’Association touristique du Centre-du-Québec.

Une réunion de chantier se dessine pour bientôt, a fait savoir la directrice générale, Lise Lemieux, toujours en attente de l’obtention du certificat d’autorisation du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs. Quant à la méthode de travail qu’utilisera l’entrepreneur pour exécuter les travaux, «elle n’est pas définie dans le devis», a indiqué le maire Claude Desrochers. «C’est à la discrétion de l’entrepreneur», a précisé le conseiller Stéphane Hamel.

Photo : Jean-Marie Beaujean (1995)

Autre étape dans le dossier de la caserne

Le projet de construction d’une nouvelle caserne pour les pompiers warwickois continue d’avancer. Lundi soir, les élus ont retenu les services de l’architecte Dominique Blais, un professionnel de Saint-Jean-Chysostome, au coût de 21 400 $ en plus des taxes. «C’est un architecte compétent à qui l’on confie un mandat élargi d’assurer un suivi avec l’entrepreneur. Le dossier chemine à bonne vitesse», a confié le conseiller Martin Vaudreuil.

Ce dossier, a cependant rappelé le maire Desrochers, ne verra le jour qu’en 2012. «La Ville devrait être prête pour les soumissions à l’hiver 2012 pour ensuite accorder le contrat de réalisation au printemps 2012», a-t-il souligné.

Et pendant les travaux, la Ville, a précisé le maire, possède déjà un garage pouvant abriter, sans coût additionnel, les véhicules du service de sécurité incendie.

Source : La Nouvelle Union

Photo : R. Coulombe (1997)